Monplaisir est l’un des quartiers nord d’Angers construit entre 1962 et 1976 et qui compte actuellement 11 500 habitants. Monplaisir compte actuellement 3 397 logements de différents types, dont près de 2 700 logements sociaux. Monplaisir était au départ une zone d’urbanisation prioritaire. Elle comprenait principalement des logements sociaux, mais c’était aussi une zone urbaine sensible. Elle avait l’un des taux de chômage les plus élevés des provinces du Maine-Loire et d’Angers (près de 30%). C’est aussi un quartier jeune, avec 30% d’habitants de moins de 20 ans.
Un quartier jeune et multiculturel
De nombreuses opportunités en perspective
Monplaisir, l’une des communautés les plus jeunes et les plus internationales d’Angers, a été choisie comme ville en 2014 pour bénéficier d’un projet de rénovation urbaine de 10 ans porté par l’Agence nationale de protection de l’environnement et du Renouvellement urbain (Anru).
Logement, aménagement urbain, voies de transport … En plus de l’habitat, l’ensemble du cadre de vie de ses 11 500 habitants a été repensé pour imaginer un charme plus ouvert, plus vif et plus glamour. Objectif: remodeler l’emplacement de la zone dans la ville. La méthode de reconstruction de quartier vise à transcender la vision globale nécessaire à la construction d’un projet de manière originale, en prenant 43 actions dans 5 domaines spécifiques.
De nombreuses actions ont contribué à rendre le quartier plus moderne et attractif. D’ici 2025, environ 500 nouveaux logements seront construits, y compris de petites maisons de ville collectives et individuelles, pour parvenir à une diversification du logement. Les voies piétonnes et cyclables ont été améliorées et les espaces verts ont également été améliorés, notamment au pied des immeubles.
Près de 1 660 logements seront réhabilités : résidences Gallieni, Allonneau, Dunant, Schuman, Gabriel-Baron, Monplaisir, Grand Nozay…
L’amélioration des conditions de vie quotidienne passe également par des actions temporaires telles que des travaux de rénovation, de restauration des espaces publics et de résidence sur la tour Gallieni, ou l’installation de conteneurs souterrains